Une nouvelle louve est dans le coin... (en cours)

FICHE D'IDENTITE • • NOM : Stone • • PRENOM : Laurine • • AGE : 27ans • • DATE DE NAISSANCE : le 12/01/1983 • • JOB : Assistante Sociale • • STATUT : Célibataire • • RACE : Louve • • DON PARTICULIER : Je me métamorphose en louve.

Vous connaissez l'histoire de blanche neige ? Et bien moi parfaitement. Ma vie est tout simplement un véritable conte de fée... dans le pire sens du terme. Je vais vous expliquer.

Ma vie a commencé comme tout le monde, ma naissance, mes jeunes années... rien de bien ordinaire. Je vais donc vous épargnez mon premier cri, ma première chute, ma première petite robe... mon premier popo... Non, je suis pas si cruelle donc venons à la nuit où tout à changer.

Le 18 Novembre 1990

Ma mère attendait la naissance de son deuxième enfant, mon petite frère. J'étais jeune et pourtant je n'attendait qu'une chose, voir ce petit bébé et aidé maman à lui changer les couches. Mais mes souhaits n'allaient pas se réalisé, du moins pas comme je le désirais. Ma mère tomba à terre alors qu'elle rapportait un plat dans la cuisine lors du repas de midi. Mon père réagit très vite et moi, petite fille que j'étais, je ne fis que crier « maman ! ». Mon père la transporta dans leur chambre, alors qu'un filet de sang constant coulait le long de l’intérieur de ses cuisses. Il appela les urgences qui ne purent la transporter, son état étant trop instable. Flinn, mon petit frère dû naître par une césarienne. Mon père pensait perdre sa femme et son fils, du moins c'était sa peur. Il ne perdit que sa femme et moi, ma mère. La douleur était immense, j'en ai longtemps voulu à ce petit être qui avait tué la personne la plus important de ma vie. Mais au bout d'un mois, mon père décida de prendre les choses en main. Selon lui, mon frère était ma responsabilité, je devais l'aimer, l'aider, le protéger... Il n'avait pas de maman, n'en aurait jamais mais il avait moi.

Papa me mit le bébé dans les bras et me demanda de le fixer. Je m'y refusais mais il insistait tellement que finalement je le fis. Ce que je vis me fit fondre en larmes. Ce bébé, fragile n'avait rien fais. Il était beau, avait les yeux de notre mère et me fixait d'une manière qui disait « coucou, grande sœur... » Je sais que c'est faux, mais à cet instant j'avais cette sensation. Depuis ce court moment, mon frère était devenu une personne obligatoire à mon bonheur... Je devenais une vrai mère poule, comme il me le dit souvent.

Le 22 Avril 2000

J'avais 17 ans et Flinn 9 quand notre père nous présenté la femme qu'il fréquentait depuis quelques mois. Cette femme était belle, gentille et très attentionné, surtout avec mon frère. J'en étais ravie même si l'idée qu'une femme devienne ma mère, enfin ma deuxième mère, était un peu dérangeante, surtout au début. Je n'ai fais que la regardé, alors qu'elle était sur le canapé, les poings serrés pour s’empêcher de prendre la main de mon père dans la sienne. J'ai trouvé cela touchant, après la vague de colère que j'avais ressentis pour cette femme quand elle a franchit le seuil de la porte en me regardant avec un grand sourire réservé. A cet instant, plus aucun sentiment de colère n'allait à son encontre, juste une grande curiosité et du doute.

Un an plus tard, mon père nous annonça la nouvelle : il allait se marié. La pilule fut très dure à avalé. Mon père cependant attendit que je lui dise oui, mon frère étant ravie. Il n'avait jamais connu notre mère, c'était plutôt logique qu'il soit content d'avoir une vrai maman... Moi c'était différent. Je n'aurais plus jamais de mère mais j’acceptai, pour la bonheur de mon père.

Le 15 Juin 2003

La mariage. Le pire moment de ma vie et pourtant, le plus grand bonheur de mon père... enfin je le croyais. Ma belle-mère m'avait gentiment demandé d'être sa demoiselle d'honneur... l'horreur ! J'ai dû porté pendant une journée entière une robe rose flashy totalement immonde. J'avais 20 ans à ce moment là et j'ai juste eu envie de vomir quand elle me l'a montré... Mais on a pas toujours le choix. Le bonheur de ceux qu'on aime avant tout. Pfff ! La bonne blague.
Ainsi le mariage est passé, aussi long et pénible fut-il. Mon frère avait adoré cette petite soirée mais heureusement pendant un mois, nous étions seuls, le jeune couple étant partis en lune de miel.
J'ai toujours eu beaucoup de mal avec ma belle-mère. Je ne sais trop pourquoi, enfin à ce moment-là. Maintenant c'est plus clair. Mais pendant cette période de ma vie, mon instinct me disait que cette femme n'était pas aussi douce, aimante et attentionnée qu'elle en avait l'air, bien au contraire. Bref, je ne me suis pas posé bien longtemps la question, mes « parents » revenant aussi vite qu'ils étaient partis... du moins je le cru. Un mois passe vite quand on ne veut pas que la fin arrive. Ainsi la vie de famille commença véritablement et elle allait être... magnifique...

Le 12 Mai 2006

Je suis rentrée du travail totalement exténuée. Voilà quatre mois que j'ai finis les études, trouvé du travail en tant que assistante sociale débutante. J'adore aidé les gens mais apparemment la personne qui a le plus besoin d'aide à ce moment de ma vie, c'est moi. Et je m'en suis même pas rendu compte...

Il était 18heures quand je suis rentrée ce jour-là. J'en pouvais plus. J'avais dû géré trois cas de maltraitance dans cette putain de ville où je suis née et les parents étaient justes de véritable con, au point que je me suis mis à avoir hâte de voir ma belle-mère, pour vous dire ! Bref, le délire total. Quand je suis rentrée, rien n'était anormal, mon père était encore au boulot, ma belle-mère s'occupait des devoirs de mon frère qui était dans l'âge ingrat et pourtant, avec moi, il était presque... adorable. Mais les parents, aoutch, c'était dure !
Ainsi la soirée se déroule normalement, j'ai déposé mes affaires, prit une douche et mangé... Cette nuit-là, je suis tombée malade. Une horreur. J'ai passé ma nuit avec une bassine au pied de mon lit si vous voyez le genre... Mes parents ont pensés comme moi : une indigestion. Mais ça n'avait rien à voir et une personne dans cette maison le savait mais ne disait bien sûr rien.

Quand le matin pointa le bout de son nez, mon père partit au travail, mon frère au lycée et moi, j'étais encore dans mon lit. Ma fièvre était très forte, mes vomissements n'étaient plus, je n'avais plus rien à rejeté mais j'avais mal partout, je me sentais si mal...Ma belle-mère est venu me voir alors que nous étions seules dans la maison. Me regardant, ses yeux exprimaient une haine profonde que je ne comprenais pas. Je me suis redressée pour lui demander si il y avait un problème mais elle me devança et de façon significative.

Je comprend pas... Tu devrais déjà être morte... j'ai mis les trois quarts du flacon quand même.

Je crois qu'à ce moment-là, j'ai compris que je commençais à apprécié ma belle-mère, la prendre pour une véritable seconde mère, en quelques sorte et pourtant... Les larmes au bord des yeux, je me suis effondrée sur mon lit, les yeux à demi-clos. J'ai murmuré :

Pourquoi?

Elle a plongé alors son regard sur moi, s'approchant avec cette même expression de haine. Elle se baissa alors vers mon oreille pour me cracher son venin.

Parce que tu prends toute la place...Ton père est à moi et tu me fais de l'ombre.

Elle se redressa, me tournant le dos quand soudain je sentis une douleur insoutenable me traverser le dos. Mes os semblaient se briser les uns après les autres. De ce fait, je ne pu retenir un hurlement de douleur qui fit sursauter ma belle-mère. Elle me fixa puis sourit victorieuse quand elle vu que je vomissait du sang. Je suis tombée du lit tellement la douleur est insupportable. Mes côtes se brisaient, mon visage changeait et à cet instant, ma belle-mère ne souriait plus. Mon corps s'allongea, devint loup se couvrant de poil. Tout se passa très vite, un quart d'heure environ et pourtant cette transformation fut tellement douloureuse que je ne vis qu'une éternité de souffrance devant moi. Quand se fut finit, une seule pensée m'habitait, habitait la bête en moi : Me venger.

Avançant vers la source de ma rage, je passa devant le miroir de ma chambre et me vit. Un immense loup marron clair, presque roux me fixait. Ses yeux étaient aussi énigmatique les miens, sombre et profond. L'examen que j'ai porté à la bête ne dura pas longtemps puisque quelques minutes après, j'étais sur ma belle-mère, son sang débordant de ma bouche et coulant le long de ma gorge. J'adorais cela. La déchiqueté morceau par morceau quand soudain un bruit se fit entendre, dans ma rage, je songea à attaqué quand l'odeur de mon frère me chatouilla les narines. Le choc fut rude, si rude que je m’évanouis, redevenant humaine avec un vague souvenir de douleur.

Quand je me réveilla, mon frère était assis près de moi, me regardant inquiet. Il m'avait recouvert d'une couverture car évidemment j'étais nue (sinon c'est pas drôle.) et surtout je baignais dans le sang de notre belle-mère. Je ne réagis pas immédiatement à la situation mais quand se fut le cas, je n'osa le regarder et m'éloigna le plus possible de lui. Il tendit une main vers moi. Il n'avait pas peur. Il était triste. Il avait mal... pour moi ? Je secoua alors la tête tout en pleurant. Il se jeta sur moi pour me prendre dans ses bras. Je le serra contre moi. Il attendit que ma crise de larme pour me demander des explications. Je les lui donna, hésitante et sans le regarder, ne serais-ce qu'une fois. Durant l'exposé des faits, j'eus l'idée de m'enfuir pour cela je demanda à mon frère d'aller me chercher des vêtements, prétextant que je n'avais pas le courage de monter. Il partit dans ma chambre et moi, prenant un long manteau de mon père, je partis, croyant quitté ma famille à jamais mais évidemment mon frère était aussi malin que moi. En effet, je compris rapidement que j'étais suivis, mon flaire étant devenu très sensible.

Alors que je l'ai attrapé, il passa un mauvais quart d'heure pour finalement venir avec moi. Avoir mon frère avec moi était une sorte de bénédiction même si j'avais sans cesse peur de lui faire du mal. Cependant, il m'aida à me contrôler sauf durant les pleines lunes où là, je lui ordonnais de partir, de se cacher. Mais mon loup n'a jamais voulu le poursuivre ou le tuer, comme si lui aussi l'aimait. J'ai donc fais connaissance avec ma bête, ayant appris que j'étais recherché non pas comme meurtrière mais comme simple personne disparu, mon frère étant dans le même cas que moi. Personne ne pouvait supposer que l'affreuse bête ayant tué aussi sauvagement la femme de mon père était moi... Personne. Mon père, lui, et bien nous n'avons jamais vraiment eu de nouvelle et je ne pouvais pas le revoir... Se serait trop dure. J'ai changé car si mon caractère d'origine est toujours là, ma bête est synonyme de rage, de fureur, de jeux étrange à la fois lubrique et sadique... Autrement dit, je ne me reconnaissais plus mais cela allait s'arranger.

Le 15 Mai 2007

Je ne connaissais rien des loups, des meutes et de leur règles. De ce fait, un beau jour, moi et mon frère nous avons posé le pied sur le territoire d'une meute qui se sentit évidemment menacer. Mais ayant compris que j'étais une nouvelle dans leur monde et que mon frère était sous ma protection, un humain ayant un lien profond avec moi, ils appelèrent un homme ou plutôt un loup-garou. Son nom est Jackson et il m'aida. J'étais rétissante au début, bien sûr. Mais il m'apprit ce que je devais le savoir sur leur monde, mon monde acceptant que Flinn reste avec moi. Aucun de nous deux ne voulaient se passer de l'autre et la Marrock fit avec.

A force de vivre dans ce monde, mon frère voulu en faire réellement partit. Ayant apprit tout se que je devais savoir, je su que si Jackson acceptait de transformer mon frère, il pouvait pourrir. J'étais une belle exception mais les morts étaient si fréquente... Tremblant pour mon petit frère je m'y opposa et se fut d'ailleurs l'unique fois où je cria sur mon frère ainsi que sur Jackson qui me rappela à l'ordre... Je fuis alors dans mon quartier, ma chambre autrement dit. Mais voilà, les deux hommes n'écoutèrent pas ma voix car le lendemain... mon frère était loup-garou. Je fus dévasté de savoir qu'il allait souffrir toute sa vie mais il semblait bien mieux le vivre que moi, sûrement parce que lui n'avait jamais tué personne. Car pour moi, le goût du sang de ma belle-mère est encore sur mes lèvres et cela ne risque de ne jamais partir. Ainsi à présent, tout ce que je fais c'est éviter cela à mon frère, pour l'instant ça marche mais depuis que nous somme arrivées dans la meute de Ghost Island, je doute encore d'y arriver...

Mon caractère? Il est assez complexe. En tant qu'humaine, je suis gentille, à l'écoute et diplomate mais depuis que ma louve à fait son apparition, je suis devenue plus vive, plus susceptible et territoriale notamment avec mon frère ou mes amis proches. Tout ça est assez compliqué mais finalement, les deux ont réussis à s'épouser même si parfois, l'un surpasse l'autre... La louve généralement. Mais pour être franche, mon côté humain est largement entretenu avec la meute. Etonnant hein! Et pourtant, avec des gens comme Charlie et Richard, je vous jure que c'est logique. Ils sont toujours en train de se prendre le choux et finalement mon job dans le sociale aide beaucoup. Avec eux j'ai retrouvé ma joie de vivre, je redeviens peu à peu la jeune femme pleine de vie que j'étais. Mais le premier a avoir participé au fait que je retrouve progressivement mon identité est sans aucun doute Jackson. Il m'a fait rire, m'a aidé à apprivoisé mon côté animal même si quand celui-ci sort... c'est plutôt violent. Mais à vous de le découvrir...

Je suis une femme grande, mince avec les cheveux châtain clair au reflet roux d'où la couleur du pelage de ma louve quand je suis transformé. Depuis que je suis devenue une loup-garou, je n'ai jamais coupé mes cheveux et de ce fait, ils sont long. Une manière personnelle de caché mes yeux qui parfois change de couleur et devienne étonnamment sombre à cause de ma louve qui se manifeste lors d'émotion forte par exemple. Je n'ai ni tatouage, ni percing, cela me semblant inutile. Cependant j'ai quelques cicatrices faites par des balles en argent qui m'ont parfois effleuré lors de chasse avec Charlie. Il m'arrive de l'aider pour attraper les "hors la loi" mais voilà, tout à un prix. Cependant, je n'en ai que deux ou trois qui ne sautent pas forcément au yeux.

La première personne la plus importante dans mes connaissances ici est Charlie. C'est ma meilleur amie. Elle m'a beaucoup aidé depuis mon arrivée et grâce à son côté oméga, elle réussit facilement à m'apaiser. Elle est un peu la soeur que je n'aurais jamais.
Richard, notre lieutenant, est un sacré spécimen! Avec Charlie c'est joyeux et dans leurs nombreuses disputes, je suis contre toute attente, celle qui calme le jeu. Certes je suis assistante sociale de profession mais c'est Charlie l'oméga, pas moi et pourtant... Mais je les adore autant l'un que l'autre.
Evidemment, il y a mon petit frère Flinn qui est absolument tout pour moi. Personne ne sera jamais plus important pour moi, même si un jour je tombe amoureuse... ce qui ne semble pas près d'arriver.
Il y a aussi Malik, le rebelle que chasse la meute. C'est un danger pour tout le monde et il doit être contrôler, même exécuter mais voilà... ce petit con est malin!
Après... et bien j'attends de rencontrer un peu la population. Je ne suis pas des plus sociales depuis que je suis dans la meute.

Chaque matin, quand je me lève, je vais faire un tour dans la forêt là plus proche avant mon petit déjeuner. Je dois oublié les cauchemars fais pendant la nuit et pour cela, le grand air. Malheureusement je dois prendre mon "mode" loup mais c'est très utile et cela me permet de bien commencer la journée.
Je ne possède pas d'animal, n'en ayant jamais posséder.

VOUS • • CELEBRITE PRISE: Erica Durance • • SURNOM : Alex (Missdingue) • • AGE: 19 piges! • • COMMENT VOUS ETES VENU ICI : J'y suis déjà <3 • • DOUBLE COMPTE : [***] OUI [ ] NON (cochez la bonne réponse) Triple même! • • MOT DE PASSE QUI PROUVE QUE VOUS AVEZ LU LE REGLEMENT : Spoiler: • • QUELQUE CHOSE A AJOUTER : On va bien rigoler!!!!